Suite à la perte de la licence Gothic au bénéfice de Jowood interactivePiranha Bytes s’en est allée créer la licence Risen. L’affiliation étant évidente, le premier épisode fut bien accueilli par la critique. Suite à l’échec commercial d’Arcania, Gothic 4, il y a eu énormément d’attente auprès de ce second épisode. Le héros sans nom est donc de retour, après s’être frotté une première fois aux titans, les destructeurs de l’humanité. Tonnerre de Brest, nous voici chez les pirates ! 

Voici venu le temps de l’île aux enfants… euh  pirates !

Oui souvenez-vous : monté dans un navire clandestinement, durant le voyage, un combat s’engagea entre un inquisiteur et un titan. Le bateau échoua et le héros sans nom se retrouva à Faranga une île dont l’inquisition imposait le blocus. En effet, sur cette dernière, d’anciens temples avaient surgi de terre ce qui amenait à se poser plein de questions. Pour ne pas divulguer l’intrigue plus avant, nous avions quitté notre personnage fringant et victorieux d’un titan à la fin. Avec Risen 2, vous revoici dans la Forteresse de Cristal de Caldera, dernier bastion de l’humanité,  ville portuaire en ruine. Borgne et alcoolique, vous allez être appelé à l’aide pour sauver le monde. Le gouverneur vous fait demander sur les murailles pour entrevoir un bateau coulant sous la puissance d’un kraken, une pieuvre géante. Cette introduction qui sert de tutoriel n’est pas la partie la plus glorieuse du jeu et ne rassure pas sur la qualité du jeu, surtout lorsque l’on regarde au loin les flammes sur la cité, avec une lave texturée pas franchement réussie.

On regrette aussi les séquences narratives saccadées n’aidant pas à se mettre dans le bain. En effet, le commandant Carlos nous envoie sur la plage pour secourir les rescapés, on tue trois bestioles, on retrouve Patty, une ancienne connaissance à la recherche de son père Barbe d’Acier. Puis on atterrit illico dans le bureau du gradé pour discuter de ce qu’il faut faire. Nouvelle scène de la miss dans notre lit se reposant, pendant que nous, nous devons aller chercher un bateau. Même pas le temps de compter fleurette à sa belle, ou encore de se la jouer Geralt de Riv et de prendre en charge l’avenir de notre descendance. Rien nada, “queue” dalle. 

Heureusement que par la suite, visuellement et scénaristiquement, cela s’améliore grandement. Après avoir retrouvé Barbe d’Acier, on voguera vers de nouveaux horizons pour trouver le moyen de vaincre Mara, la reine des titans. On passera d’île en île, permettant ainsi d’agrandir notre zone de jeu. Une carte générale vous présente les lieux visités, avec ses sites se débloquant au fur et à mesure. 


Un univers unique

Commençons par un petit aparté : Piranha Bytes, à travers la licence Gothic, puis Risen, a su imposer son style au monde du RPG vidéo. Leurs jeux ont toujours eu un côté simulationniste : Tout d’abord, les personnages du jeu ont des quêtes à vous proposer qui s’imbriquent souvent les unes dans les autres. Du coup, même si elles sont parfois primaires,  cela donne du volume aux PNJ. Donc, ce n’est pas parce que vous avez fait la quête d’untel qu’il deviendra négligeable, vous aurez peut-être besoin de lui pour une autre affaire. De plus, les quêtes plus complexes proposent souvent plusieurs solutions pour les résoudre. 

Deuxièmement, pour faire évoluer son personnage, on a un apprentissage qui passe forcément par des PNJ instructeurs. Ainsi, plus on possèdera de connaissances, plus les possibilités de jouabilité s’améliorent. C’est d’autant plus visible lors des combats. Au début, vous n’aurez accès qu’à une seule attaque, puis à force d’apprendre, vous pourrez en effectuer de nature différente et mieux appréhender les combats. Du coup, la difficulté est bien présente au début de l’aventure.

Enfin, il y a ce côté simulation de vie simpliste mais très riche qui épice la partie. Si on dispose des ustensiles nécessaires,  on pourra récupérer de l’or dans les grottes, dépecer les animaux tués, dormir, cuisiner, cueillir des fleurs pour faire des potions. 

Il est temps de revenir à cet épisode : L’univers des pirates est bien rendu avec son lot d’îles paradisiaques, ses bâtiments de style inquisition espagnole, ses grottes et ses  vieilles ruines aztèques. On retrouve tout le plaisir de l’exploration qui est un des points forts du jeu. Il est donc possible de récolter des plantes, faire sa cuisson au coin d’un feu de camp, déterrer des coffres grâce à vos cartes au trésor. A partir du menu journal, adapté au format console, on peut sélectionner une quête et demander à ce qu’elle s’active. Du coup, une croix apparaît et on peut partir à l’aventure tout en étant guider ou pas, voire se téléporter directement sur des sites que l’on a déjà découverts. Cela fait plaisir car rares sont les jeux qui proposent de désactiver ce genre d’informations. Sur un île, la liberté est totale, même si le relief ou la mer limitent nos déplacements. 

Dans l’univers des pirates, on a trois points importants : le rhum, les trésors et les femmes. Si les deux premiers sont bien développés, avec quelques clins d’oeil à la littérature de la piraterie, le troisième point manque cruellement de saveur. On peut trouver des femmes de mauvaise vie – mais pas d’enfant – disséminées ça et là sur chaque île, mais elles ne semblent pas s’intéresser du tout à notre charme, ni à notre bourse. A moins que l’objectif des développeurs soit de n’être censuré que par un 16+. On perd donc un peu de cohérence de ce côté là, sachant que le langage des dialogues est pourtant bien mature. 

“Une femme sans mari, c’est comme un navire sans gouvernail” disait un proverbe espagnol. Il est donc évident que la présence de navire est aussi obligatoire. Mais il ne sera ni question d’abordage, ni de phase de navigation. Ce sera juste un moyen de transport entre îles, grâce à une cinématique ingame de bien belle facture, mais sans aucune gestion. Par contre, bonnes idées d’avoir implanté des pièges un peu partout sur les îles qui restent hostiles aux explorateurs. En effet, c’est au détour d’un chemin dans la forêt, ou encore dans un temple qu’un piège  peut s’enclencher. Si vous ne réagissez pas assez vite, vous êtes empalé, découpé, évicéré immédiatement et c’est le game over. Une jolie manière de montrer qu’il faut rester sur ses gardes tout le temps. 

“Jolie gueuse, vous marinez chez vos harengs ?”

Visuellement, Risen 2 a des qualités indéniables et directX 9 s’en sort plutôt bien avec pas mal d’effets atmosphériques, de particules, de lumières et d’ombres, et un environnement “pirate” bien retranscrit. Même s’il n’atteint pas les sommets tels que les ténors comme The Witcher 2 et Skyrim, il n’est pas du tout hideux, loin s’en faut. Surtout lorsque vous en aurez pris plein les mirettes avec les brumes, les couchers et les levers de soleil, jouant à travers le feuillage, ou encore la gestion du jour et de la nuit. La profondeur de champ est importante et même si au loin, le bloom/brouillard fait son office, il n’est pas choquant. La mer est belle tout comme les îles, mais manque de vie. En effet, on ne verra que très peu de faune à part quelques singes, volailles, rats et bien sur, les ennemis. Pas d’insecte, d’oiseau, juste un banc de poissons exotiques grossiers.

Après avoir planté le décors, plusieurs choses fâchent : tout d’abord le clipping omniprésent qui fait subitement apparaître les objets du décors, parfois très proches de notre personnage, tout comme la végétation qui se transforme, se déplace, pousse ou s’atrophie à quelques mètres de votre unique œil vous faisant passer pour un ivrogne encore alcoolisé. “Si, je vous dis monsieur l’inquisiteur, je l’ai vu poussé devant moi, la branche hips!”.

Ensuite, Si les textures sont essentiellement jolies et fines, on reprochera la qualité des personnages qui sont parfois très grossiers, tout comme leur gestuelle. On appréciera l’habillage de Patty, stylée Pirate des Caraïbes, mais on la trouvera franchement moche. Enfin, cela reste encore bien rigide et les sauts ou la course, épaule en avant, ne sont pas des plus naturels.

Le bestiaire de Risen 2 est toujours aussi soigné. Même si l’IA des ennemis est assez bourrine, “moi voir, moi taper”, les créatures comme les boss ont chacun leur propre style. Au delà des créatures imaginaires comme les termites ou les démons des sables, on a plaisir à croiser des panthères, gorilles ou encore alligator, ce qui fait tout le charme d’une île paradisiaque. Les boss, quant à eux, sont dans le gigantisme et il vous faudra peu réfléchir pour trouver leur point faible. 


“T’as perdu un oeil ? C’est pas grave, t’en as deux !”

A l’instar d’un Baldur’s Gate 2 ou l’on commence au niveau 8, ou encore d’un Mass Effect qui joue la continuité, Il est dommage que notre personnage ne prenne pas d’emblée un certain nombre de points de compétences, ce qui permettrait de débloquer certains aspects de jouabilité.  En effet, Risen 2 étant une suite, il propose de reprendre en main le même personnage. Vous allez donc retrouver moult connaissances avec lesquelles vous vous êtes liés dans l’épisode 1. Et bien figurez-vous que si leur histoire progresse – Patty et la rencontre avec son père Barbe d’Acier en est une – vous allez recommencer votre progression à zéro, comme si, à chaque épisode, vous deveniez amnésique et réappreniez à vous battre. Si cela ne vous choque pas, moi cela a le don de m’énerver. A noter qu’il n’est pas nécessaire d’avoir fait le premier, pour comprendre ce second épisode, même si de nombreuses références sont faites. 

Le héros sans nom est défini par cinq attributs : Lames, Armes à feu, Résistance, Ruse et Vaudou. En réalisant des quêtes et en tuant des créatures, vous gagnez des points de gloire qui permettront de faire évoluer vos attributs. Ensuite, pour chaque attribut découlent trois talents liés et des compétences particulières. Les talents dépendent donc de vos valeurs d’attributs, mais aussi de vos accoutrements, des objets légendaires que vous acquérez, que vous portez, ou encore de ce que vous aurez avalé ou bu.
 
Parallèlement à cela, vous pourrez développer vos compétences qui sont dépendantes d’un certain niveau d’attribut à condition de trouver le bon PNJ formateur qui acceptera de vous l’apprendre contre de l’or. Ainsi, l’attribut vaudou propose les compétences Magie noire (utilisation d’un sceptre vaudou et des malédictions), Culte des morts (détermine la force d’un fantôme invoqué) et Rituel (qui augmente l’effet des potions). Enfin, selon votre niveau d’attribut, vous aurez accès aux compétences correspondantes, comme la fabrication de potions ou de poupées vaudou. Encore faut-il que vous les ayez apprises !

Ainsi, si vous n’avez pas la compétence crochetage, vous ne pourrez pas tenter d’ouvrir les coffres verrouillés, dans un mini-jeu agréable. Entrer dans le monde de Risen, c’est accepter des règles de jeu propre aux softs de Piranha Bytes qui font leur charme. Vous ne pourrez récupérer des minerais que si vous avez une pioche pour l’extraire, vous ne pourrez transformer votre viande crue en provision que si vous trouvez un feu de camp. Sur les  animaux à griffes, vous ne pourrez récupérer des trophées que si vous avez une scie à dents. On aura le détail d’un lieu que si on trouve la carte locale. On débloque des compétences en les apprenant auprès des PNJ compétents avec de l’argent. Un système qui renforce la simulation, mais le manuel aurait pu être plus complet pour les détailler. 

Père D’acier, racontes-nous une histoire !

Pour avancer dans l’aventure, il vous faut effectuer les actions de la quête principale dans un ordre précis et jamais vous ne pouvez court-circuiter ce système. Au delà de la liberté de réaliser une quête car elle propose plusieurs possibilités, si dans le script, un personnage ne doit vous parler qu’après une action précise, vous pourrez tourner des jours et des jours dans l’île sans débloquer la solution. L’histoire se tient et le rythme s’intensifie au fur et à mesure de votre avancée, même si je l’ai trouvée plus simple d’accès que Risen. On pourra aussi reprocher le manque de cohésion entre les deux épisodes, avec quelques  incohérences.  

A part l’introduction assez brouillonne, par la suite, la quête principale nous tient en haleine tout du long, l’ambiance pirate en plus, et le choix d’une faction (inquisition, pirate, indigène) pourra amener quelques variantes au jeu. On regrettera tout de même cette fin précipitée qui amène un combat de groupe, qu”il aurait été bien de développer, et son boss final, pas franchement difficile. Pensez aussi à finir toutes les quêtes annexes, car il est impossible de poursuivre, le générique bouclant définitivement votre aventure. 

Les quêtes secondaires, même les plus faciles, amènent leur lot de discussions, permettant de faire plus ample connaissance avec certains personnages. On peut d’ailleurs les affronter en duel, mais pas les tuer. Et il est dommage qu’ils n’aient pas de mémoire à long terme, car après une défaite, ils oublient votre traîtrise et sont prêts à faire commerce avec vous. Tout comme ils ne vous tueront pas en cas de défaite, mais vous perdrez un peu de points d’expérience. 

Dès que vous posséderez un bateau et un équipage, il vous sera possible de vous faire accompagner sur l’île accostée par un unique compagnon. D’autres, toujours avec de fortes personnalités, vous rejoindront si vous résolvez leur quête, et ils communiqueront pas mal avec vous, si vous les abordez. Encore une fois, cela donne un plus à l’immersion surtout connaissant le charisme de certains. On regrettera juste qu’ils ne soient pas possibles de les tuer, tout comme les PNJ. Seule votre mort amènera le Game Over. 


A une époque, les pirates n’étaient pas manchot.

Se jouant à la troisième personne, le bouton gauche de la souris sert à actionner/attaquer, le bouton droit à cibler/défendre. La molette permettra de zoomer et dézoomer sur une caméra centrée sur son personnage. Quant au bouton central, il sert à ranger et à sortir son arme. Le tir au pistolet se fait par une simple touche automatiquement.  L’idée est bonne et on ne peut en abuser car il y a un temps de rechargement. Il existe aussi les armes à feu à deux mains qui se manie grâce à un viseur et sont bien gérés. Le menu se gère très bien dans un menu très simple d’accès. Et l’utilisation possible de la manette XBox360, et uniquement elle, montre que l’orientation console est en bonne voie. J’ai d’ailleurs eu grand plaisir à jouer avec, car c’est très agréable, tout comme peut l’être Reckoning ou La guerre du Nord. L’unique défaut reste qu’il n’y a aucune information sur son maniement dans le manuel et aucun paramétrage possible. En tout cas, au vu de la gestion de la manette Xbox360, Risen 2 est prêt à faire un carton sur console. On en reparlera alors. 

Pour les combats, Risen 2 souffle le chaud et le froid. Alors que vous débutez l’aventure, avec un niveau de manchot, vous n’aurez accès à aucun coup spécial et il vous faudra défourailler dans tous les sens en appuyant sur un simple bouton, face à des créatures autrement mieux équipées, qui vous font passer de vie à trépas rapidement en mode difficile. Il n’y a pas non plus de touche esquive comme dans le premier. Heureusement pour enrichir ce système rudimentaire, vous pouvez tirer avec votre arme à feu dans la seconde main, si munitions vous possédez.

Par la suite, vous aurez le loisir de développer vos coups à l’arme blanche ou à feu, vous pourrez utiliser le sable ou le sel pour aveugler votre adversaire, ou encore développer votre magie vaudou et vous enrichirez  ainsi les possibilités. Il faut donc s’accrocher au jeu, pour en voir la richesse, ce qui ne sera pas au goût de tout le monde. Du coup, pour le débutant, le niveau facile est amplement suffisant pour apprécier l’histoire et pour les connaisseurs, bien sur, le niveau difficile est de rigueur. Enfin, je passe sur la présence aléatoire d’un ralenti qui présente la mise à mort de votre ennemi avec une caméra mal orientée et qui ne présente aucun intérêt.


Voyons voir disait l’aveugle au sourd.

Le jeu, s’il est sous-titré en français, garde ces dialogues en anglais qui sont de très bonnes qualités. C’est peut-être dommage pour l’ambiance, mais on se dit que c’est un moindre mal surtout après avoir connu des adaptations à faire mourir un sourd muet. Musique omniprésente avec guitares sèches qui donnent un style marqué hacienda espagnole, bien agréable.

Les dialogues sont toujours aussi riches et matures, et se passent par des questions/réponses pouvant amener des résolutions différentes. Certaines phrases proposant un col ou une intimidation sont suivies d’une compétence avec un niveau. Si vous possédez une valeur supérieure dans la compétence, vous pourrez la sélectionner. Sinon c’est échoué obligatoirement.   

“Il le signe à la pointe de son épée, un Z qui veut dire Z’héros !”

Tous n’est pas tout bleu dans ce monde idyllique. On reprochera des bugs de tout genre, dont certains assez graves pour votre partie. En effet, refusant de suivre un PNJ qui retournait au village, je le laissais rentrer seul au campement. Malheur à moi, ayant besoin de lui un peu plus tard, il en était resté à la quête précédente. Il a donc fallu que je recharge le jeu, sinon ma partie était perdue. Il y en a eu d’autres qui m’ont obligé à utiliser la console pour me débloquer. Espérons que cela ne vous arrivera pas, en attendant un patch correcteur. 

Enfin on regrettera la mécanique commerciale de l’éditeur. Deux versions sont proposées dont une qui propose d’emblée deux DLC à la sortie même du jeu : L’ile aux pirates qui vous prendra deux, trois heures à finir et un costume de pirate. Pour les DLC de la boîte, il y a un système de déblocage qui n’est pas simple avec une obligation de passer par un autre site pour aller chercher des codes, pour que l’on nous envoie la clé du DLC utilisable sous steam. Hé oui, dois-je préciser que le jeu, uniquement solo, s’active sous Steam ? On trouvera aussi un autre DLC proposant une aventure dans le temple de l’air. Comment ne pas se sentir floué, devant tant de parcellisation pour un jeu de base offrant trente heures de jeu alors que ses aînées en proposaient des centaines – je parle des Gothic bien entendu.

Si les mécaniques restent immuables et ont fait le succès de la licence Gothic/Risen, on appréciera un épisode au goût de la piraterie, qui a su se renouveler, même si on lui reprochera son clipping à outrance et ses bugs tout frais. Le charme opère et on se complaira à faire évoluer ce héros sans nom dans ces îles paradisiaques, pendant plus d’une trentaine d’heures. Les menus et la jouabilité très efficaces avec un gamepad – Xbox 360 uniquement – font penser que la transition est prête pour amener la licence vers ce support avec succès.

Mais jouer un clone commence à être pesant, car trois Gothic et deux Risen plus tard, il serait bien que les développeurs offrent des alternatives à un personnage gravé dans le marbre, alors que son environnement va de l’avant.

+ Histoire
+ Univers et décors bien rendus
+ La magie
+ Présence de pièges mortels
+ Le vaudouisme

Note RPG 4 sur 5
Note testeur 08 sur 10

– Manuel trop vide et DLC trop nombreux
– Clipping et bugs
– Type de combats trop simples au début
– Accrochez-vous au sabre, j’enlève l’échelle !
– PNJ sans mémoire

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