samedi, avril 20, 2024

Diablo III : Reaper of Souls (Test 2)

Ce test a été écrit et publié à l’origine le 08 avril 2014 sur le site RPGFrance par son auteur Batman the Blind. Avec son aimable autorisation.

NOTES FINALES

Note de l'auteur
8
Note RPG
6

Après avoir fait du bruit sur PC puis plus tard sur console, Diablo, seigneur du malin, revient frapper à notre porte ! Si ce test est rédigé avant tout pour vous présenter la nouvelle extension de Diablo III du nom de Reaper of Souls, il sera également l’occasion de vous présenter les évolutions majeures du jeu de base depuis le test que j’avais rédigé peu de temps après sa sortie, il y a bientôt 2 ans déjà.

Diablo III, sans extension, il vaut quoi ?

Commençons par un point sur Diablo III aujourd’hui. Lors de sa sortie sur PC, un élément avait fait grincer des dents bon nombre de joueurs : l’Hôtel des Ventes. Je vous rappelle le principe : via cette plate-forme, vous aviez la possibilité de revendre votre équipement aux joueurs du monde entier, et de faire votre marché en achetant un meilleur stuff, que ce soit avec l’or du jeu, ou avec de l’argent réel. Il en résultait un système de butin peu intéressant pour justifier l’utilisation de cet Hôtel. Les objets intéressants étaient rares, et pas toujours adaptés au personnage que vous jouiez. Je me souviens de Killpower qui avait équipé, à contre-coeur, une hache à deux main à son sorcier. Je vous jure !

Lors du test de la version PS3, mes comparses Pouicoss et Killpower avaient abordé le système de loot propre à la version console, bien plus intéressant et gratifiant que ce que nous avions pu avoir sur PC. Pour rappel, le loot, c’est le butin que vous récupérez, autant sur les ennemis que dans les coffres et autres conteneurs. Eh bien réjouissez-vous, car avec la mise à jour 2.0 de Diablo III, la version PC a rejoint la logique de la version console concernant le système de loot ! Le 18 mars 2014, Blizzard a fermé définitivement l’Hôtel des Ventes, que ce soit en or ou en argent réel. De plus, le butin est maintenant bien plus intéressant. Les pièces d’équipement “rares” tombent régulièrement, et récupérer un objet “légendaire” est bien plus fréquent aujourd’hui. L’équipement est par ailleurs plus adapté à la classe que vous jouez. Au final, vous changez régulièrement l’équipement de votre personnage pour ajuster ses statistiques et optimiser au mieux votre “build”. 


Alors certes, il vous arrivera de trouver des objets “magiques” ou “rares” plus puissants qu’un objet “légendaire” ramassé auparavant, mais qu’importe, puisque le plaisir de chasser de l’équipement et d’optimiser son personnage est de retour ! Et c’était bien là une des choses qui manquait à Diablo III dans ses premières versions.

Bien entendu, il y a eu d’autres mises à jour moins importantes mais dont j’aimerais vous parler également. Outre les ajustements assez classiques des différentes classes de personnages, Diablo III a vu quelques nouveaux éléments de gameplay débarquer pour enrichir un peu plus l’expérience de jeu. Par exemple : les coffres maudits et les sanctuaires maudits : Il s’agit ici de devoir accomplir une sorte de défi, parfois limité dans le temps, afin d’accéder au contenu du coffre, ou au bonus prodigué par le sanctuaire. Parfois il s’agira simplement de survivre à une certaine quantité de vagues d’ennemis, parfois vous aurez très peu de temps pour massacrer tous les ennemis aux alentours, etc. Il peut même y avoir des objectifs facultatifs vous offrant un bonus supplémentaire si vous parvenez à les valider. Rien de bien novateur, mais cela vient ajouter un peu de variété au jeu, et c’est toujours un plaisir de dénicher un coffre maudit, dans l’espoir d’y trouver LA pièce d’équipement qui vous rendra invincible !


Un autre élément, quant à lui un peu plus ancien déjà, est la présence de donjons bonus chronométrés. Encore une fois, la carotte qui vous poussera à vous aventurer dans ces donjons à temps limité est la promesse d’une salle au trésor remplie de pièces d’équipement.

Notons également que l’IA et les comportements de certains ennemis et boss ont été revus et ajustés. Un système de leveling un peu bâtard a été ajouté au jeu, le système de “parangon” valable pour les personnages ayant atteint le niveau 60. Je vous renvoie à cet article sur le site officiel du jeu pour une présentation détaillée de ce système. Mais l’une des nouveautés qui m’a énormément fait plaisir, c’est le choix du niveau de difficulté ! Originellement, il vous fallait compléter le jeu en normal pour le faire dans le niveau de difficulté supérieur, avec le même perso !

Vous vouliez faire le jeu en difficile avec un barbare après l’avoir fini en normal avec un sorcier ? Eh bien non ! Interdit ! Mais finalement, Blizzard est revenu en arrière en proposant un système de choix de la difficulté, que vous pouvez toujours ajuster en cours de partie. En plus, une difficulté plus élevée vous donne un bonus d’or et d’expérience, ce qui est encore plus gratifiant. Pour ceux qui aiment s’amuser avec les chiffres, je vous renvoie encore une fois vers un article détaillé du site officiel.

Outre ces éléments de gameplay, le moteur du jeu a été optimisé. Moins gourmand et plus fluide, de quoi faire plaisir aux petites configurations qui rencontraient quelques ralentissements lorsque que les sorts et les monstres fusaient dans tous les sens à l’écran.

Je rappelle donc que toutes ces petites nouveautés sont incluses dans Diablo III, que vous ayez acheté ou non l’extension. Venons-en maintenant au coeur de ce test : les nouveaux éléments apportés par l’extension Reaper of Souls !

Nouvel acte, nouveaux acteurs

Vous pensiez que tout serait terminé après avoir complété l’acte IV du jeu ? Grossière erreur ! Si vous n’avez pas encore fini l’acte IV de Diablo III, je ne vous cache pas que ce paragraphe peut vous révéler certains éléments de l’intrigue.

L’acte V, que vous pouvez démarrer directement avec un personnage ayant déjà fini le jeu, débute par une cinématique magnifique, dans la veine de ce que vous avez déjà pu voir dans Diablo III. On y voit Tyraël, à la recherche d’un lieu pour y dissimuler la pierre d’âme noire, celle-là même dans laquelle vous avez enfermé l’âme du puissant Diablo. C’est alors que surgit de nul part Malthaël, l’ange de la mort, qui s’empare de la pierre d’âme noire avant de disparaître. Tyraël envoie un soldat chercher le néphalem, autrement dit : vous, pour sauver une fois de plus le monde de la menace d’un super méchant de la mort qui tue.


Mais pourquoi Malthaël s’est-il emparé de la pierre ? Il vous faudra le découvrir par vous-même ! Le fait est qu’il a envoyé ses légions sur terre et que vous êtes la seule personne à pouvoir l’arrêter. Une fois que vous avez compris que le sort du monde est entre vos mains, le déroulement de l’acte V n’est pas très différent du reste du jeu. On évolue dans différents environnements, avec un campement où l’on retrouve les personnages habituels : le forgeron, l’artisan de gemmes, les compagnons, les marchands, puis plus tard, la mystique. Ce personnage, que vous débloquerez à peu près à la moitié de l’acte V pourra ré-enchanter les objets rares et légendaires pour en modifier les propriétés. Ce bonus de vitesse de déplacement ne vous sert à rien ? Vous pourrez peut-être le remplacer par un bonus de dégâts ! Cela vous coûtera un bras, mais dans Diablo III, des membres, on a tendance à en trancher par paquets de douze. Pour un prix bien plus abordable, ce personnage pourra également changer le visuel de vos pièces d’équipement. Vos bottes ne sont pas assorties avec votre pantalon ? Pas de problème, ce sera réglé en un coup de baguette magique ! Après, de vous à moi, ce n’est pas non plus l’élément indispensable que j’attends dans un Hack’n’Slash.


A l’instar des actes précédents, vous serez amenés à évoluer dans quatre ou cinq environnements différents. Le bestiaire sera essentiellement composé de nouvelles créatures, même si dans la cohue des combats, on ne s’attarde pas non plus sur les détails visuels de chaque ennemi. Le jeu a également son lot de boss, mais la stratégie contre ceux-ci ne sera pas forcément très élaborée. Même le boss de fin, bien que très résistant, ne nécessitera pas de tactique évoluée pour être défait. Néanmoins, on reste dans un Hack’n’Slash, mais si on compare avec le Boucher de l’acte I, qui nous obligeait à esquiver les flammes tout en anticipant ses coups, il est clair que l’effort n’a pas été mis sur le game design des boss

Il vous faudra plus ou moins quatre à cinq heures pour boucler ce nouvel acte, peut-être moins si vous avez déjà un équipement de gros bill des familles. La petite déception reste l’absence de véritable cinématique de fin. L’acte V se termine sur un simple dialogue, avec une ouverture annonçant la prochaine extension, suivi d’un générique, et rideaux !

Partons en croisade !

Vous vous souvenez de Diablo II Lord of Desctruction ? Le jeu proposait deux nouvelles classes, l’assassin et le druide. Avec Reaper of Souls, il faudra compter sur une seule nouvelle classe : le croisé. Néanmoins, celui-ci est plutôt sympathique. Si je devais le définir en quelques mots, je dirais que le croisé est un personnage à mi-chemin entre le barbare et le sorcier, alliant une bonne défense et de bons sorts, autant offensifs que défensifs.

Pour être honnête avec vous, le croisé fait figure d’une sorte de fusion de tous les Avengers de chez Marvel. Tel Iron Man, il est capable de générer une puissante armure de fer pour renforcer ses défenses. A la manière de Thor, il peut lancer et faire tourbillonner des marteaux que vous pouvez enchanter avec de la foudre. Tout comme Captain America, le croisé peut lancer son bouclier, le faisant ricocher d’ennemis en ennemis pour infliger de nombreux dégâts. A l’instar de Hulk, il lui est possible de revêtir une forme quasi-invincible pendant un cours laps de temps. Plutôt sympathique non ?

Pour finir, le croisé possède des compétences semi-actives, c’est à dire que lorsque vous les équipez, vous bénéficiez d’un bonus passif, comme l’augmentation de votre défense ou de votre vitesse de frappe, mais que vous pouvez renforcer en activant la compétence. Ces bonus s’appliquent d’ailleurs aux compagnons et aux autres joueurs. C’est d’autant plus intéressant lorsque vous jouez à plusieurs croisés, où chacun peut faire bénéficier au groupe d’un bonus différent.


Le personnage est vraiment très fun à jouer, différent du barbare malgré les apparences, avec des compétences suffisamment diversifiées pour varier les approches au combat. Petit côté frustrant tout de même car si vous ne possédez pas l’extension, vous pouvez quand même trouver des pièces d’équipement réservées au croisé. C’est quand même un peu vicieux ça Monsieur Blizzard.

Un petit coup de “Revenez-y” !

Globalement, on sent que ces mises à jour, que ce soit dans la version 2.0 que dans l’extension, sont là pour pousser les joueurs à jouer encore et encore au jeu, alors qu’on lui reprochait de devenir trop rapidement lassant. Il est vrai qu’il y a deux ans, une fois ma première partie terminée, je n’ai eu aucune envie de retourner sur Diablo III. Mais avec l’extension, d’autres éléments sont apparus pour enrichir la durée de vie et vous donner envie de continuer à jouer avec vos personnages de hauts niveaux. Je fais référence ici au mode aventure !

Débloqué après avoir complété l’acte V, le mode aventure vous permet de parcourir l’ensemble des niveaux des cinq actes de Diablo III et de son extension pour accomplir différents “contrats”. En d’autres mots, des quêtes avec de grosses récompenses, sans véritable scénario derrière. Mais il faut avouer que cela à un côté très grisant d’affronter des hordes de créatures avec son personnages haut niveau, donnant lieu à de véritables orgies lors des affrontements. Mais il est également possible de débuter un mode aventure avec un nouveau personnage. Dans un cas comme dans l’autre, on retrouvera néanmoins des environnements déjà connus de l’histoire principale, qui vous lasseront d’autant plus vite si vous avez déjà parcouru de nombreuses fois l’univers de Diablo III.


Dans ce mode, vous aurez l’occasion de récupérer des fragments de failles, vous permettant d’ouvrir une faille néphalem. Dans la théorie, ces failles servaient aux Néphalems des temps anciens pour s’entraîner à maîtriser leurs pouvoirs. Dans la pratique, on s’en fiche un peu, car il s’agit avant tout de donjons totalement aléatoires remplis d’ennemis de plus en plus puissants au fur et à mesure que l’on progresse d’étage en étage. Une fois un certain nombre d’ennemis tués, un mega boss apparaît, on lui fait la peau, on sort du donjon, on récupère la récompense et on devra attendre de rassembler cinq nouveaux fragments pour réitérer l’expérience. Un peu dommage, on aurait aimé pouvoir accéder à ces niveaux aléatoires plus souvent, car le principe est vraiment plaisant !

On trouvera notamment au sein de ces donjons des sanctuaires aux effets inédits, comme un bonus de 400% de dégâts, un bonus d’invincibilité, ou encore, comme vous pouvez le voir juste au dessus, un bonus qui foudroie tous les ennemis alentours, pendant un temps limité.

Cette extension est également l’occasion d’augmenter la limite de niveau maximum, qui passe de 60 à 70. Il en est de même pour le système de parangon qui augmente à l’infini. Le passage au niveau 70 sera d’ailleurs l’occasion de débloquer de nouvelles compétences, une par personnage, avec cinq runes chacune.


Néanmoins, tout n’est pas devenu tout rose dans Diablo III, ce serait assez paradoxal d’ailleurs. Blague à part, la connexion permanente est toujours au rendez-vous, et si le message d’erreur 37 ne pointe plus le bout de son nez, les symptômes restent identiques. On se retrouve parfois en file d’attente de connexion avant de pouvoir jouer. Parfois, les serveurs deviennent très lent, je suis tombé jusqu’à 1.5 secondes de latence, ce qui est assez aberrant. Si Blizzard a expliqué les récents ralentissement par des attaques DDOS sur certains fournisseurs d’accès, et donc indépendants de leur réseau, on ne pestera pas moins contre cette connexion obligatoire qui pourra nous empêcher de jouer en solitaire. Oui, j’admets que l’on a peut-être un peu trop craché sur Diablo III à cause de cela, mais je tenais à le rappeler pour compenser les éloges que j’ai pu faire à cette extension et à la mise à jour 2.0 tout au long de ce test.

En complément de ce test, je vous donne un dernier lien vers le site officiel, qui vous présente de manière plus informelle et condensée le contenu de cette extension.

Reaper of Souls fait très bien son boulot ! Blizzard nous offre là une extension qui vient ajouter du contenu intéressant à un Diablo III trop controversé pour s’imposer autant que son grand frère Diablo II. Sans parler de l’extension, les mises à jour de la version 2.0 rééquilibrent le gameplay pour en faire un jeu beaucoup plus sympa à jouer, et plus proche du gameplay de la version console qui nous avait bien plu chez RPG France. Même si pour 40€ le contenu peut paraître un peu faible, il est certain que l’intérêt pour Diablo III s’en trouve renouvelé. Moi qui pensais laisser le jeu au placard à la fin de ma seule et unique partie, Reaper of Souls a suffit pour me faire changer d’avis !

+ Le loot 2.0
+ La nouvelle classe
+ Le nouvel acte

Note RPG 3 sur 5
Note testeur 08 sur 10

– Toujours des problèmes de serveurs
– Prix un peu élevé

La vision d’Etienne Navarre :
Après plusieurs dizaines d’heures sur cet addon, je suis encore tout en poutre apparente. Le nouvel acte, bien qu’assez court, est sans doute le meilleur du lot en termes d’ambiance et de design. L’atmosphère qui s’en dégage est monstrueuse et tout concourt à rendre l’odyssée intense : nouveau bestiaire (certains un poil recyclés), bande son somptueuse, gameplay renouvelé.

La nouvelle classe du Croisé remplit son rôle avec les honneurs et est loin d’être un clone du barbare ou du paladin de Diablo II. Le nouveau mode aventure, avec ses primes et ses failles, permet d’engranger de l’XP, de l’or et du fun en vadrouillant dans l’univers de Diablo sans lassitude.

Tout juste pourrais-je reprocher au jeu un manque de compétences pour chaque classe (une seule passé le niveau 60). Et c’est tout. Entre le loot revisité (à moi les sets d’armure !), la dynamique des failles et l’équilibrage général, aucune raison de bouder son plaisir. Les différents niveaux de difficulté forcent le joueur à travailler son build au millimètre, à étudier son stuff avec soin (la mystique tient un rôle majeur de ce point de vue) et à appréhender les situations correctement. Et quand on songe au mode extrême T6…

Par-dessus tout, merci à Blizzard de continuer à proposer aux joueurs de vrais addons bien épais et juteux (et RoS vaut largement son prix) là où les autres se contentent de DLC vendus au prix fort. Entre un gros addon à 40 balles et dix addons à 5 balles sur l’année, j’ai fait mon choix. On râle souvent sur les averses de DLC et on vient à oublier que certains tournent le dos à cette pratique. J’ai envie de dire à Blizzard : merci ma couille.
09/10

La vision de Narakir :
Pour quelqu’un qui a commencé Diablo 3 avec l’extension, car j’étais opposé à l’idée de l’hôtel des ventes, j’ai réalisé en jouant que la disparition de cet élément de design à créé toutes sortes de problèmes dont le jeu n’est pas encore sorti. Après avoir fait toutes les campagnes et monté un personnage au niveau 70, je dirais qu’en l’état Diablo 3 est agréable, comme une sucrerie, on aime, et on en redemande malgré tous les produits chimiques et toxiques…

En effet, ces derniers sont assez nombreux et peuvent se résumer en une expression : Difficulté en dent de scie. Cette dernière s’explique par le fait qu’avoir ou non de l’équipement légendaire modifie complètement la donne. De même monter le niveau de difficulté passé certains paliers de niveaux devient obligatoire pour avoir ne serait-ce qu’un peu de challenge. Autre élément qui fâche : les élites, bien plus violents que les véritables boss, car dotés de nombreux pouvoirs capables de vous empêcher totalement de bouger, ce qui vous amènera à une mort aussi confuse, prompte et souvent injuste tant on sent que tout cela n’a été fait que dans un seul but : sortir le joueur de sa torpeur en le faisant mourir, car les ennemis de base ne sont là que pour ralentir la progression.

Pour ce qui est de l’extension et de son contenu, tout dépendra de la façon dont vous abordez les choses, si vous explorez tout, comme je l’ai fait en difficulté expert/maître, comptez une bonne dizaine d’heures ou plus. Niveau présentation, Reaper of Souls possède une ambiance très réussie, favorise l’immersion, les musiques étant un gros point fort. Au niveau de l’histoire attendez vous à lâcher un profond soupir de dépit une fois arrivé à la fin, même si les journaux, et les quêtes de compagnons sont intéressantes mais hélas trop courtes. Néanmoins, tout ce contenu vendu au prix d’un jeu neuf, reste très cher pour qui veut commencer Diablo 3 dans des bonnes conditions. Attendez donc une promotion, ou achetez le en boite dans quelques mois. 
06/10

Batman the Blind
Batman the Blind
Ancien rédacteur pour RPGFrance. Ancien responsable administratif de RPGFrance.

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