samedi, avril 27, 2024

Dragon’s dogma : Dark arisen

NOTES FINALES

Note de l'auteur
8/10
Note RPG
8/10

A l’approche de la fin de ce mois de mars 2024, l’éditeur et développeur Capcom nous gratifiera d’une suite à une licence ayant su faire parler d’elle, j’ai nommé Dragon’s Dogma 2. L’occasion pour nous de revenir sur l’opus originel Dragon’s dogma : Dark arisen, incluant ainsi son extension.

Draguons le dragon

Un RPG, c’est souvent synonyme de promesse d’une belle aventure à découvrir, vivre, voire revivre. Entre le fanatique de quêtes narratives de haute volée entourant un sorceleur s’apprêtant à découvrir une vérité tragique sur l’enfant d’un baron, les lices stressantes mais ô combien jouissives d’un arpenteur d’Anor Londo ou encore le sentiment grisant de liberté procurée par les galopades dans les plaines d’Hyrule, chaque éditeur ira de ses arguments pour séduire le joueur en fonction des affinités qu’il a avec tel ou tel composant constitutif d’un jeu de rôle.

Dragon’s dogma, c’est un RPG qui assume, tel un quarantenaire admirant son nouveau bourrelet dans le miroir avec fierté, sa jouabilité intégralement solo (je ne mentionne volontairement pas l’opus MMO sorti exclusivement chez nos amis japonais). Vous incarnez l’Insurgé qui démarre avec une expérience assez exotique : se faire voler son propre cœur par un dragon disposant de pouvoirs (et d’un charisme) quasi divin. Si l’objectif du end game est ainsi envoyé d’une façon aussi subtile qu’une pierre chargée sur un trébuchet, au moins les joueurs sauront qu’une grande montée de puissance sera indispensable avant de pouvoir prétendre se mesurer à un adversaire aussi costaud.

Comme bien souvent, on oublie les descendances seigneuriales qui nous permettraient un démarrage « en douceur » : vous serez en loques et avec un équipement dont vous vous demandez s’il ne se détruira pas au moindre coup porté contre une bestiole. Le ton est donné, vous démarrer de zéro, sans argent, sans équipement, sans expérience, et surtout sans cœur avec une belle malédiction infligée par un reptile volant.

Dragon’s dogma est aujourd’hui un jeu qui a soufflé douze bougies car initialement sorti en 2012 avec la version GOTY dénommée Dark Arisen parue un an plus tard. Techniquement, il a certes subi les affres de l’âge, moteur vieillissant obligeant, mais la qualité de la direction artistique reste encore aujourd’hui de très bonne facture. Ainsi, dès la sortie de votre village natal Cassardis en direction de la capitale pour démarrer votre aventure, je vous invite à vous arrêter de temps en temps pour faire une pause contemplative des plages et falaises environnantes. Vous constaterez ainsi que ce jeu joue la carte du monde ouvert en essayant un découpage environnemental alternant une verticalité de certains décors avec certaines zones bien plus « couloiresques », notamment en traversant certains cols montagneux. Et si les graphismes peuvent rebuter les aficionados des technologies RTX, la DA continue de faire son travail : arpenter ce monde est agréable et vous invite à l’explorer tant pour l’obtention de certains loots que pour le seul plaisir de vous balader, à l’instar d’une belle randonnée un dimanche ensoleillé dans une forêt vendéenne.

Rapidement, et ce sans trop de surprises, vous constaterez que vous n’êtes pas seul à peupler cet univers (ce qui aurait été bien ennuyeux). Le gameplay est celui d’un action-RPG, avec des mécaniques s’inspirant allègrement des hack’n’slash. En effet, à l’orée de votre aventure, le jeu vous demandera de choisir parmi quelques classes disponibles. Ici, on ne réinvente certainement pas la roue puisque le triptyque éternel guerrier / mage / rôdeur sera de la partie. Je préfère rassurer d’emblée les craintifs puisque vous pourrez plus tard vous respécialiser, et ce à loisir car cette composante de jeu fait intégralement partie de la construction du personnage (mais j’y reviendrais).

Un gameplay à la fois classique mais ambitieux

Votre montée en puissance dans Dragon’s dogma sera à la fois très classique, mais dotée d’une dimension que je nommerais « plurielle » particulièrement intéressante. En effet, à chaque montée de niveau, votre avatar gagnera des points de statistiques qui seront automatiquement attribués en fonction de la classe choisie. Par exemple, un magicien verra augmenter sa magie (si si, je vous le jure) contrairement à un guerrier qui bénéficiera d’une santé augmentée. A ce gain de statistiques s’incorporent également des « points de niveaux » jusqu’à un total de dix. A chaque palier, vous pourrez débloquer de nouvelles compétences actives ou passives. Si les compétences actives sont strictement liées au fait de jouer telle ou telle classe, il est intéressant de noter que les passifs sont librement équipables. Ainsi, un magicien pourra sans problème s’équiper d’un passif de rôdeur, par exemple pour décider d’augmenter son endurance maximale. 

A cela, nous pouvons également évoquer le système d’équipement : certains seront multi-classes, tandis que d’autres restreints à des classes particulières. Après avoir jouer sur l’une des classes de départ, le jeu vous proposera rapidement d’en maîtriser d’autres plus spécialisées. A ce titre, il est intéressant de noter que si certaines classes sont connues et archiconnues, l’archer-mage fait vraiment office de nouveauté intéressante à jouer puisqu’à ma connaissance Dragon’s dogma est le seul à nous avoir pondu un tel hybride. De plus, sa jouabilité est particulièrement en phase avec un gameplay hack’n’slash (mais je m’égare).

Dragon’s Dogma pose des bases rôlistes simples mais suffisamment nombreuses et disposant de leurs caractéristiques propres pour que la montée en niveau soit particulièrement chouette.”

Je vois déjà certains au fond de la salle qui commencent à comprendre le principe du titre : il pose des bases rôlistes simples mais suffisamment nombreuses et disposant de leurs caractéristiques propres pour que la montée en niveau soit particulièrement chouette. Il n’est d’ailleurs pas rare de croiser des fous furieux passionnés sur les forums réalisant du theorycraft particulièrement haut level. Ainsi, même si vous n’avez aucune envie de jouer un assassin, il peut néanmoins être intéressant de monter quelques niveaux avec ce dernier puisque cette classe permet l’augmentation la plus rapide des dégâts. Il en est de même pour une compétence particulière du guerrier de base vous permettant d’augmenter le poids maximal porté par votre personnage.

Car oui, Dragon’s dogma, et ce dès le début, va vous faire ramasser des trucs, PLEIN de trucs. Vous êtes après tout lancé dans cet univers sans en connaître les tenants et les aboutissants. Tiens, est-ce que cette plante pourra m’être utile dans la suite de mon aventure ? Je n’ai encore aucune idée de l’utilité de ce filon de minerai, mais est-ce raisonnable de passer à côté sans en profiter ? Le dogme draconique se transforme ainsi bientôt en dogme de la mule, la jauge d’encombrement étant certainement l’un des pires ennemis des joueurs toutes expériences confondues. C’est une expérience à l’ancienne, sans confort et brute de pomme. Vous râlez parce que votre personnage semble avoir fumer une cartouche de gauloises en s’arrêtant toutes les cinq minutes ? Peut-être faut-il envisager de mieux gérer votre poids. Néanmoins, vous constaterez vite qu’à l’instar d’un Monster Hunter, Dragon’s dogma vous donne la possibilité d’améliorer votre équipement à l’aide des ressources récupérables dans son vaste monde. Autant vous dire que si vous passez à côté de toute cette collecte, vous risquez à partir d’un moment de le regretter, lorsque vous pesterez contre votre manque de puissance de feu.

A ce sujet, on ne peut pas dire que Dragon’s dogma soit particulièrement difficile. D’ailleurs, si vous prenez le temps de faire une bonne partie des quêtes secondaires et de vous balader sur le continent jusqu’à la fin du jeu en incluant le contenu du DLC, vous pourrez compter entre 60 à 70 heures de jeu au bas mot ce qui est, en soit, tout à fait honorable. Notons toute fois fait partie de ces jeux qui ne vont pas laisser le joueur faire ce qu’il veut avec lui, mais plutôt qui vont recadrer celui qui oserait ne pas respecter ses bases. Vous souhaitez affronter un dragon dès les premières heures de jeu ? Au lieu de vous souhaiter bonne chance, je penserais plutôt vous conseiller la rédaction de votre testament, car la défaite risque d’être cuisante. En outre, ne vous attendez pas non plus à rouler sur tout ce qui bouge : certaines catégories d’ennemis, surtout en nombre, peuvent vous créer de mauvaises surprises. Je n’évoque pas certaines grosses merguez de votre environnement qui peuvent s’inviter à la fête et transformer votre balade en séance dans un donjon sadomasochiste.

Si vous prenez le temps de faire une bonne partie des quêtes secondaires et de vous balader sur le continent jusqu’à la fin du jeu en incluant le contenu du DLC, vous pourrez compter entre 60 à 70 heures de jeu au bas mot

Et les grosses bestioles, vous allez en croiser, pas mal d’ailleurs. Et vous savez quoi ? Tel un nouvel amateur de bâillon boule, vous allez en redemander. Oui, les combats vont vous faire monter adrénaline et ocytocine en une injection. Les animations des monstres ont de la gueule et ces derniers ont un charisme égal à leur dangerosité. Il est d’ailleurs à noter que Dragon’s dogma use d’une mécanique de gameplay permettant de s’agripper aux membres des bêtes. Là encore, je fais un parallèle volontiers avec Monster Hunter sur l’utilité de cette mécanique : vous pourrez taper les points faibles et même obtenir des loots spécifiques liés à la destruction de telle ou telle partie de la créature. D’ailleurs, certains monstres ne peuvent être combattus que d’une telle manière : vous aurez beau leur envoyer plusieurs pluies de météores dans la tronche, leur barre de vie vous contemplera avec le dédain d’un policier écoutant les justifications de votre excès de vitesse.

Des pions pour un mode sans échec?

N’omettons pas, ce serait quasi-criminel, d’évoquer l’une des grandes particularités de Dragon’s dogma : les pions. Pour ceux du fond, merci de ranger votre échiquier complètement hors sujet et d’écouter attentivement. J’évoquais en amont votre statut d’insurgés, vous avez en effet la possibilité au début de votre aventure de vous créer un pion. Un pion est un humanoïde vous obéissant au doigt et à l’œil, mais sans posséder de statut à part entière d’être humain. Je vois que certains dans la salle osent esquisser un sourire à la lecture de cette définition, mais sachez qu’elle est justifiée au sein du lore du jeu et ce jusqu’à la fin. Je ne rentre cependant pas dans les détails, de peur de spoiler peut-être trop d’éléments pour le second opus prévu à la fin du mois.

Votre pion sera donc entièrement personnalisable, et ce tout autant que votre avatar. Vous devrez ainsi gérer ses classes, son équipement et les compétences qu’il utilisera. La différence ? Vous ne le contrôlez pas, vos seules actions étant très indirectes et liées au comportement que votre pion principal aura face à certaines situations.

J’évoquais le fait que les pions étaient incrémentés au cœur du lore du jeu. C’est littéral, puisqu’en effet vous pourrez invoquer auprès d’une pierre de faille deux autres pions supplémentaires qui viendront vous accompagner pendant toute la durée que vous jugerez nécessaire. Ainsi, lorsque j’écris que Dragon’s dogma est entièrement solo, il serait peut-être plus opportun de dire qu’il ne dispose que d’un multijoueur asynchrone. Votre pion pourra ainsi être recruté par d’autres joueurs, et vous pourrez inversement recruter les pions de vos amis ou de parfaits inconnus en fonction de ce qui vous paraît le plus opportun. Ici, Dragon’s dogma a incorporé un système assez poussé de connaissances des pions en fonction de leur vécu au côté de leur insurgé, faisant en sorte qu’ils peuvent avoir des connaissances plus ou moins poussées à la fois sur la manière d’affronter tel type de créature ou sur la façon de résoudre certaines quêtes. Le système est intéressant et surtout unique car il s’agit ici du point d’orgue de la particularité de gameplay de Dragon’s dogma. Et le pire dans tout ça ? C’est que ça marche. C’est pas parfait, parfois frustrant quand votre mage décide d’envoyer un cataclysme nucléaire sur trois pauvres araignées, mais d’une façon générale le système fonctionne.

Enfin, vos équipements seront obtenus en grande partie via les marchands, mais également et surtout via l’accomplissement de quêtes et votre exploration. L’exploration de Dragon’s dogma est assez clichée sur certains aspects, notamment les énormes coffres disposés un peu partout sur la carte. Néanmoins, si l’on arrive à passer outre, vous serez généralement récompensés dans le fait d’arpenter la carte puisque vous dénicherez certainement une ou plusieurs babioles intéressantes. De plus, il n’est pas rare que Dragon’s dogma se transforme en Fashion’s dogma pour votre pion principal, le bonheur de recevoir des louanges d’autres joueurs sur son apparence vous forçant à acheter de la crème anti-inflammatoire pour vos chevilles.

Cependant, la tâche de tester un jeu impose de rester le plus objectif possible et ce malgré tous les atomes crochus qu’on partage avec la particularité d’un tel soft. La recette de Dragon’s dogma est aujourd’hui potentiellement datée. J’entends déjà certains rôlistes dévaler l’escalier à toute vitesse en me disant que pas du tout, mais force est de constater que la narration de Dragon’s dogma est extrêmement sommaire, pour ne pas dire insipide. On n’est certes pas dans une succession de quêtes Fedex qui ont pu faire la gloire de certains softs coréens, mais la mise en scène pourrait gagner en profondeur et en immersion. Il en est de même pour certains combats qui peuvent être assez brouillons du fait d’une caméra parfois bancale dans certains environnement exigus. De plus, j’espère que vous aimez aller au restaurant car vous allez passer un temps non négligeable dans les menus et sous-menus. C’est certes une partie intégrante d’un jeu de rôle, mais un gain en fluidité dans leurs parcours aurait été la bienvenue, vu le caractère répétitif imposé dans leurs ouvertures.

Et Dark Arisen dans tout ça?

Le DLC vous permet, dès le village de départ, d’embarquer dans la nuit vers une île séparée du continent principal. Vous y croiserez une damoiselle apparemment soucieuse de connaître le secret entourant l’île, et auquel elle serait directement mêlée. Pour le narratif, voilà grosso modo le résumé de 80% de l’histoire de ce contenu additionnel qui ne brillera clairement pas par sa narration. De plus, je vous déconseille assez fortement d’y aller dès le début de votre aventure puisque le contenu se révèle particulièrement épicé.

En effet, oubliez le monde ouvert et bienvenue dans des couloirs intérieurs d’une sorte de “méga-crypte” arborant un level-design très linéaire et vous permettant, notamment après avoir vaincu certains boss, de débloquer des raccourcis pour revenir vers l’entrée. Dark Arisen est très clairement orienté vers le combat contre des monstres de plus en plus costauds, les derniers étant quasiment plus complexes que ceux du end game du jeu de base. Vous êtes donc prévenus !

Cependant, l’amateur de nouveaux objets pourra y trouver son compte puisque ce DLC incorpore toute la panoplie de nouvelles armes et armures nécessaires à tendre une carotte suffisamment intéressante pour un rôliste amateur d’optimisation. La différence avec le contenu de base? Ici, le loot sera distribué de façon aléatoire et vous devrez, à l’instar des parchemins d’identifications dans Diablo, désensorceler les objets auprès de la protagoniste principale pour découvrir avec entrain vos nouveaux joujous. Et pour peu que vous soyez chanceux, je dois bien reconnaître que certains équipements peuvent s’avérer particulièrement puissants, notamment si vous décider de faire le DLC en amont de la fin du jeu.

Pour synthétiser, Dark Arisen trouvera quelques amateurs dans les amoureux du gameplay et les collectionneurs d’équipements disparates. Néanmoins, il reste tout à fait dispensable concernant sa direction artistique, son level-design et encore plus sa narration. A vous donc de peser le pour et le contre.

Quid ? Dragon’s dogma peut être qualifiable d’archaïque dans la narration des quêtes ou encore dans un système de jeu de rôle accusant certaines lourdeurs potentiellement sources de certaines frustrations à la longue. Néanmoins, malgré son âge vénérable, Dragon’s dogma ne peut être décemment identifié comme une piquette, mais plutôt comme un bon cru, certes très particulier, mais disposant d’arguments suffisamment nombreux pour que le rôliste y trouve son compte dans la création d’un insurgé à son image.

Dragon’s dogma est un jeu de rôle réussi même s’il reste perfectible dans la modernisation de certains aspects. Gageons que Capcom, à la lumière du temps passé et de son expérience, nous prouvera qu’il réussira à gommer certains points négatifs pour proposer une aventure encore plus palpitante.

Note RPG 4 sur 5
Note testeur 08 sur 10

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L'archiviste

Merci pour ce retour sur le premier opus Ystrall.. Et surtout heureux de te compter parmi nous. Donc la bienvenue chez toi.
Pour ma part, ce jeu décidément, je n’y arrive pas. Je trouve les combats trop lourds avec des ennemis à sac à points de vie comme pouvait l’être Balrum. Peut être est ce la présence d’un groupe ? Peut être l’interface et les menus. En tout cas, je n’adhère pas. Et c’est bien dommage.

Zemymy

Bienvenue chez toi Ystrall ! Merci pour ce premier test que j’ai pris plaisir à relire et corriger. A bientôt pour le second…!

Cosmopotte

Personnellement je trouve qu’il a beaucoup vieillis. J’avais voulu m’y mettre mais il m’est tombé des mains au bout de deux heures.

Le Roa

Pour ma part je déteste Dragon Dogma , je me retrouve donc absolument pas dans cette évaluation surtout sur la partie RPG qui il faut l’admettre est presque inexistante en réalité mise à part la base de la base de “Leveling , Caractéristique, loot et quêtes “souvent fedex et obligatoire”. Même les combat , que le jeu soit lourd est une chose mais on me vante parce que tu peux grimper sur les bestioles … ouais si c’est juste ça bof quoi. Je déteste ce jeu parce que surtout je m’i ennui comme un rat mort, tout est ennuyant quand je passe plus de 10 minutes dessus. Je me sens vraiment pris dans un jeu insipide a l’univers vide sans aucune interaction. Alors si en plus les combats sont franchement bof plus tout le reste … Apparemment pour le 2 c’est encore pire.

Je vois que pas mal de monde pour justifier ça sortent que Dragon Dogma est un jeu différent des autres et c’est pour ça que les gens ont du mal a adhéré.
Je suis désolé, mais je ne vois pas en quoi il est plus différent qu’un autre RPG ou jeu d’aventure. Juste parce que les mécaniques sont plus lourdes ?! C’est franchement étrange de considérer ça comme un critère qui devrait le rendre “unique”. 
C’est juste un semis monde ouvert plat et creux avec des grottes insipides, des mobs, tous les 5 mètres et des villes sans aucun intérêt où tu rentres chez tout le monde sans problème et quand tu tapes sur plus gros que toi, hop acrobranche ! bof vraiment.

Désolé, je pense vraiment que c’est définitivement un jeu d’ultra niche parmi les jeux de niche un peu comme Troll2 est un film de niche pour le cinéma et que comme tout produit de niche (sauf un produit de niche n’est pas forcément un bon produit et je pense franchement que Dragon Dogma est juste bof) , sa communauté va donc le surcoter et le voir au-dessus de ce qu’il est réellement , et donc pour se rassurer le considéré comme une œuvre de génie au lieu d’admettre simplement qu’ils aiment quelque chose de vraiment … Meh. C’est en tout cas, c’est ce que je vois avec la communauté Dragon Dogma qui ressemble beaucoup du coup a la communauté de Dark Souls 2 (ou des Royaumes d’Amalur) au final.

Dans tous les cas, bienvenu sincèrement.

-Le Roa slash Le Maitre de la Haine !

A l’approche de la fin de ce mois de mars 2024, l’éditeur et développeur Capcom nous gratifiera d’une suite à une licence ayant su faire parler d’elle, j’ai nommé Dragon's Dogma 2. L’occasion pour nous de revenir sur l’opus originel Dragon’s dogma : Dark arisen,...Dragon's dogma : Dark arisen
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